La mycose vaginale est le thème du cycle d’automne du Programme de Qualité des Soins (PQS). Causée par Candida albicans, cette affection bénigne et fréquente chez la femme est gênante et souvent récidivante. Le soutien que vous pouvez apporter aux femmes qui en souffrent est important.

L’INAMI nous a informés, ce mardi, que la firme responsable n’a pas accepté l’application de la mesure "remboursement de référence" au 1er octobre sur le cluster Diméthylfumarate.

Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué?! Alors que les commandes de vaccins ont été passées depuis longtemps, la décision prise cet été par le Conseil Supérieur de la Santé de recommander les vaccins renforcés pour les personnes âgées de 65 ans et plus, suivie de la confirmation que ces vaccins nécessitent une autorisation du médecin-conseil, risquait sérieusement de compliquer la vie des vaccinateurs et des patients concernés cet automne. Or un parcours vaccinal simplifié reste l’un des meilleurs moyens d’assurer une couverture vaccinale élevée. Une approche pragmatique s’impose ! Les avis récents du CBIP et du RMG vont dans ce sens.

La hausse du prix d’un grand nombre d’antibiotiques prévue au 1er octobre crée une situation inédite, puisque cette hausse va exclure automatiquement une partie importante de ces spécialités du groupe des médicaments les moins chers. Nous attendons encore les informations définitives de l’INAMI à cet égard.

Le lancement de la campagne de vaccination contre la COVID-19 est prévu pour ce lundi 15 septembre. Toutes les infos pratiques vous ont été données dans le webinaire organisé ce mardi par la SSPF et que vous pouvez (re)visionner via notre site. Nous faisons rapidement le point sur les informations et le matériel actuellement disponibles.

L’INAMI l’annonçait hier dans un communiqué: les conditions de remboursement de certains médicaments utilisés pour traiter un diabète de type 2 seront «consolidées» à partir du 1er octobre 2025. L’APB, qui a beaucoup œuvré pour faire évoluer la situation actuelle, se réjouit de cette solution qui va notamment supprimer une obligation inadéquate pour le pharmacien, à savoir le contrôle sur la mention écrite du médecin.