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nération et aux préparations magistrales.
Pas à pas, nous progressons. Et nous ne le
faisons pas seuls. Nous voulons unir nos
forces. C’est le deuxième axe : la connexion.
Nous avons un réseau très solide d’unions
professionnelles, d’instituts de formation,
de services, de fournisseurs, de spin-offs...
Nous souhaitons les mettre le plus possible
en relation pour accroître notre efficacité.
Le troisième axe est l’APB. Le monde et
la profession changent, nous aussi. Nous
devons répondre aux nouveaux besoins de
nos membres, sans doute en ligne avec les
évolutions que nous déterminerons dans
le document « Vision 2025 ». L’APB en tant
qu’organisation évoluera également, et nous
continuerons à mener à bien nos missions,
comme d’habitude. Nous devrons également
faire des choix. Que devrons-nous continuer
à faire (ou pas) ? Par exemple, une publication
papier et non plus trois, car nous souhaitons
communiquer via des canaux digitaux et avoir
une approche omnichannel, tant vers nos
membres que vers le grand public, c’est-àdire
vos clients et patients. »
À suivre... ■
Trois axes, 13 thèmes
→ La profession : la prévention
et l’orientation, les soins
pharmaceutiques, l’économie
de la pharmacie, les préparations
magistrales et les soins intégrés.
→ Les connexions : pharmacie 3.0,
marketing/omnichannel, la qualité
des soins en pharmacie, l’eSanté,
la collaboration en réseau.
→ L’APB : le processus décisionnel
stratégique, la réorganisation
interne, le modèle de
financement.
Nous devons répondre aux
nouveaux besoins de nos membres.
Alex Harris © Shooting Break Photography
Nous voulons unir nos forces.
C’est le deuxième axe :
la connexion, pour accroître
notre efficacité.